L’histoire du Mandala
Le Mandala
L’histoire du Mandala
Origines
L’origine du mandala vient de l’Inde.
Ce support matérialise la dualité liant des notions :
- Le Monde spirituel, symbolisé par le POINT et le CERCLE
- Le Monde des contraintes, représenté par le CARRE
Mandala signifie aussi « roue d’énergie » ou « roue de vie ».
En Europe, nous pouvons en voir une représentation dans les rosaces des cathédrales.
Au début du 20ème siècle,
Carl Gustave Jung, psychanalyste, introduit à cette période le mandala comme une solution pour explorer l’inconscient. Il considère donc le mandala comme une représentation du soi et du monde. Le mandala est alors présenté comme « un outil thérapeutique ».
Raymond Montercy,électronicien en micro-physique vibratoire s’est intéressé aux tracés régulateurs. Le mandala est un dessin support de méditation qu’il appelle « dessins énergétiques » et qui sont supports d’évolution.
Fondements
Dans notre culture occidentale, le mandala est souvent représenté par une rosace.
Cette forme résulte d’un tracé géométrique ancestral appelé tracé régulateur. Cette technique s’appuyant sur des données simples et naturelles sont connues et utilisées depuis la plus haute antiquité. L’Homme De Vitruve dessiné par Léonard de Vinci applique cette technique des tracés régulateurs.
Les bâtisseurs ont utilisé la voie du trait pour relier l’homme, l’architecture et son environnement.
Ils ont su utiliser cette géométrie naturelle qui est en matière d’architecture : l’art d’allier la mesure et la proportion avec celles du lieu, ayant pour finalité de donner à la construction, l’organisation et la cohérence la mieux adaptée avec le développement du vivant.
Les tracés régulateurs vont permettre de construire, en utilisant les coordonnées géodésiques propres à chaque lieu. Les coordonnées géodésiques correspondent à la latitude et à la longitude attribuées à chaque lieu représenté par un point situé sur la Terre.
Ce lieu a ses proportions et ses orientations spécifiques. De plus, il possède une empreinte solaire propre, liée à une de ses coordonnées géodésiques (= sa latitude) et qui va être différente selon les différents solstices.
Les solstices et les équinoxes sont les caractéristiques de la déclinaison du soleil.
L’empreinte solaire du lieu est alors représentée par un quadrilatère, axé sur le nord géographique. Les sommets caractérisés par des angles coïncidents avec les levers et les couchers solaires solsticiaux.
Dans la théorie des tracés régulateurs, ce quadrilatère est appelé quadrilatère solsticial et correspond à la première forme géométrique du lieu. En fonction de la latitude où nous nous trouvons, le quadrilatère solsticial change de proportion.
Pour le tracé du mandala, les coordonnées géodésiques retenues sont la latitude du lieu de naissance et la latitude du jour de naissance.
Le tracé du quadrilatère solsticial correspondant à ces données est utilisé comme fondement dans le tracé du mandala personnalisé.
Un autre fondement entre en vigueur dans la construction du mandala : celui de la fréquence de vibration.
Les caractéristiques particulières liées à un lieu, naissent de la vibration du manteau et de la croûte terrestre qui est provoquée par les mouvements de la terre. Elle tourne sur elle-même et autour du soleil.
D’autres vibrations naissent par le rayonnement solaire.
Chaque lieu a donc une fréquence vibratoire.
La géométrie du quadrilatère solsticial appliquée dans un lieu respecte donc ses caractéristiques et sa vibration.
Ce qui explique que notre personne, qui sera représentée par un mandala personnel soit marquée par :
- par notre lieu de naissance, lié à la fréquence vibratoire de la terre
- par notre jour de naissance , lié à la fréquence vibratoire du soleil ce jour-là.
Le mandala pour en faire un mandala personnel repose donc sur 3 fondements :
- les coordonnées géodésiques
- le quadrilatère solsticial en lien avec les tracés régulateurs
- la fréquence vibratoire